Une alternative au modèle capitaliste néo libéral devenu inefficace (Patrick Artus)

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00 :00 Le capitalisme (néo-libéral) est mort
02 :58 A qui profite le crime ? 
05 :00 Un modèle inégalitaire sous pression 
07 :20 Nombreuses failles du modèle capitaliste actuel 
09 :28 Comment en sommes-nous arrivés à la destruction d'emplois qualifiés ? 
16 :11 Une exigence de rentabilité des capitaux aberrante 
21 :26 Retraite par capitalisation : indispensable à une sortie vers le haut ? 
24 :23 De la régulation à l'incitation, plaidoyer pour l'ordo-libéralisme 
26 :27 La fausse bonne idée de la TMM (Théorie Monétaire Moderne) 
34 :47 Sommes-nous réellement en capacité de changer de modèle ? 
39 :30 Le modèle actuel à bout de souffle 
41 :50 La transition entre deux modèles ne peut se faire sans casse 
43 :39 L'autre problème de taille à traiter d'urgence

Après « le capitalisme est en train de s'autodétruire » et « Croissance zéro, comment éviter le Chaos », le tandem que forment Marie-Paule Virard et Patrick Artus (la première est journaliste économique, le second est Chef économiste chez Natixis) signe un nouvel opus intitulé « la dernière chance du capitalisme ». Dans cet ultime ouvrage, Patrick Artus et Marie-Paule Virard retracent l'évolution du capitalisme jusqu'à l'apparition du capitalisme néo libéral actuel qui, selon eux, ne remplit plus son rôle et serait même devenu le lit de nombreux déséquilibres. Incapable dorénavant de générer de la croissance, creuset de multiples inégalités, le capitalisme sous sa forme présente aurait-il non seulement atteint ses limites mais menacerait-il de s'écrouler ?

Le diagnostic posé par les deux auteurs de « La dernière chance du capitalisme » est sans appel. Le capitalisme néo-libéral a failli à tenir toutes les promesses qu'il portait en son sein. Est-il temps dès lors d'en finir avec ce modèle à bout de souffle et possible d'opérer un changement radical pour sortir de cette impasse ? La Théorie Monétaire Moderne (Modern Monetary Theory) promue par Stephanie Kelton et que les banques centrales (FED, BCE, BoJ) semblent avoir implicitement adoptée constitue-t-telle une alternative crédible ?

Retrouvez l'intégralité de cet entretien en compagnie de Patrick Artus en cliquant sur la vidéo ci-dessus.

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