(AOF) - La loi de finance 2009/2010 a été présentée la semaine dernière en Inde. Les mesures espérées pour diminuer le déficit budgétaire et parvenir à une certaine stabilisation de la dette publique, notamment les privatisations partielles, en étaient absentes. Le déficit budgétaire du gouvernement central a même été revu à la hausse (6,8 % du PIB), ce qui pourrait entraîner un déficit du budget consolidé de l'ordre de 12 % du PIB lors du prochain exercice fiscal. La dette publique pourrait alors s'élever à 85 % du PIB; l'Etat indien devrait néanmoins tenir le choc en raison de son refinancement quasi-exclusif sur le marché interne. Il n'en demeure pas moins que le risque d'un abaissement de la note souveraine de l'Inde s'en trouve aggravé, et ce d'autant plus qu'elle est déjà sous surveillance négative. " Dans ce cas, les entrées de capitaux étrangers pourraient diminuer et, confrontées au durcissement probable des conditions de financement, les entreprises pourraient être les premières à en pâtir, " expliquent les économistes du Crédit Agricole.
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