(AOF / Funds) - La hausse du PIB est passée de 7,2 % pour l'année fiscale 2007-2008 à 4,7 % pour 2008-2009. Le gouvernement égyptien avait prévu une croissance moindre (4,5 %) et voit en ce résultat le témoin de la fin de la crise économique. La situation économique au second semestre a néanmoins souffert de la forte contraction des revenus du canal de Suez (-26 % sur un an en juin), de l'effondrement des exportations (-30 % sur un an en juin) et du recul des transferts privés. Ce mouvement baissier a été notamment compensé par la contribution du secteur bancaire. En effet, ce dernier " a été l'un des principaux soutiens de l'économie égyptienne avec une progression positive des crédits bancaires et de la liquidité offerte (+6 % sur un an en juin), favorisée par une demande intérieure toujours dynamique et en progression de 7,2 % en juin 2009, " expliquent les économistes du Crédit Agricole.
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La valeur de l'investissement peut varier à la hausse comme à la baisse.
Souscription en ligne
Plus besoin de remplir à la main tous les bulletins de souscription grâce à la pré-saisie ! Gagner en rapidité et en efficacité.
Des frais réduits
Nos équipes négocient avec les sociétés de gestion des frais réduits.
Des professionnels
à votre écoute
Nos experts sont à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches du lundi au vendredi : 0 805 09 09 09 (appel gratuit)