(AOF / Funds) - La croissance du PIB de la zone euro s'est améliorée au deuxième trimestre, mais il existe encore des facteurs défavorables (désendettement des secteurs publics et privés, réticence des banques à prêter, etc.), indique BNP Paribas IP. Compte tenu de la faiblesse de la production industrielle, des ventes de détail, de l'emploi et du pouvoir d'achat des ménages, le troisième trimestre a connu un faible démarrage. Le commerce extérieur devrait constituer l'un des principaux moteurs d'amélioration de la performance de la zone euro. Le ralentissement de la croissance du PIB aux États-Unis et en Chine avait provoqué une décélération de la croissance des exportations, mais, comme la croissance économique a désormais atteint son point bas dans les pays émergents et s'améliore aux États-Unis ainsi qu'au Royaume-Uni, la tendance devrait se redresser. Le gérant n'anticipe pas de forte hausse des importations cependant. Comme aux États-Unis, l'inflation ne devrait pas poser de problème. La BCE sera ainsi en mesure de maintenir son indication prévisionnelle d'un maintien des taux directeurs à un bas niveau. Sachant que l'inflation est susceptible de poursuivre sa décrue quand les hausses de TVA disparaîtront des chiffres effectifs, elle pourrait même décider d'apporter de nouvelles mesures de soutien. Jusqu'à présent, ses indications prévisionnelles n'ont pas empêché les taux des obligations allemandes d'augmenter. AUT/MAF
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La valeur de l'investissement peut varier à la hausse comme à la baisse.
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